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En cours d'affaire dans les parages du FRAC
On se rend compte que le temps passe puisque ça fait au moins une année que je tiens cette rubrique et que je me souviens de la Saint- Pacôme de l'an dernier où on jouait au freesbee et dont je parle dans un des premiers articles.
Cette année, comme prévu, les dessinateurs et illustrateurs ont à nouveau investi la galerie pour deux WE et un mercredi consacrés aux 24 heures de la bande dessinée. Comme ils connaissent maintenant la maison et que nous sommes plus préoccupés par Précaritas et les affaires qui vont avec (comme la mise en place du Guichet Unique au FRAC Alsace, l'organisation de la résidence à Niederhaslach au mois d'août avec les artistes de Précaritas et quelques intervenants comme François Deck, Stéphanie Leininger, Bureau d'Etude.....)nous n'y avons pas trop participé.
Nous parlons aussi beaucoup de l'année prochaine, de la suite de Précaritas, et de l'association du Syndicat Potentiel. Nous parlons aussi beaucoup du budget serré que, comme des jongleurs, nous suivons au quotidien et dont le contenu est versé plusieurs mois après le démarrage de l'action. Et si l'aide très bienvenue de 15 000 euros qui vient de nous être confirmé par la région Alsace nous garantit d'aller au bout de l'action que nous menons, il n'en reste pas moins qu'il nous faut soupeser chaque dépense pour ne pas être en danger économique.
Le voyage pour Précaritas à Sélestat au FRAC Alsace, a été l'occasion de plusieurs choses :
Pour l'installation du Guichet Unique, qui est en fait un espace de restitution, tout c'est bien passé : il a pris naturellement sa place dans le hall du FRAC. Lire l'article . Avec l'aide de deux sympathiques stagiaires, une fille et un garçon qui n'ont pas hésité à dépasser leurs horaires, nous avons déchargé les éléments du dispositif et les avons directement posé là où ils seront jusqu'à fin décembre.
Quant à la discussion effrénée sur l'autoroute à l'aller, avec Catherine au volant de son break, on aurait cru entendre une symphonie linéaire et courbe à la fois, répétitive et implosive, baroque et épurée. Son contenu, elle en parle sur le blog précaritas. Lire l'article Et même si elle voudrait que j'en rende compte aussi, j'assume d'en parler ainsi et de ne pas dire le contenu de nos débats. Simplement qu'ils alimenteront les projets à venir. Puisque depuis nous avons continué la discussion à plusieurs reprise au téléphone pour envisager une nouvelle formule pour l'année prochaine. En effet si nous n'allons pas reproduire Précaritas sous sa forme et dénomination actuelle, pour préserver son caractère singulier, nous savons aussi qu'avec l'association nous ne pourrons pas revenir en arrière en retrouvant un fonctionnement d'organisateur d'expositions au sens classique du terme.
A midi nous avons tous pique-niqué avec une partie des membres du Réseau d'art contemporain à côté du jardin à la française de Bertrand Lavier, mais dans le hall, car le temps n'y était pas. Nous avons discuté de choses et d'autres qui concernent le petit monde des plasticiens, de la présence ou non de telle ou telle personne. Olivier Grasser, le directeur du Frac, qui soupçonnait les radis que nous avions achetés avec Catherine, d'être transgéniques à cause de leur taille, en a quand même mangé plusieurs.
La réunion du réseau a démarré à 14 h. J'étais sceptique vis à vis du Réseau et ça se savait parce j'en ai déjà parlé dans un article et qu'une partie des personnes présentes l'avait lu. Ce que je redoute le plus dans ce genre d'endroit, c'est le consensus sous la forme quasi-répétitive que prend ce type de réunion, où face à la complexité que recèle un groupe composé de personnes toutes singulières, on se rassure en s'accrochant a des procédés qui souvent en restent au stade de procédés. Nous avons parlé de la nouvelle carte du Réseau pendant la moitié de la réunion, en se disant plusieurs fois qu'il fallait passer à autre chose. Un des point fort de la réunion à été de se dire qu'il fallait que le Réseau se dote d'une action artistique commune et concrète. D'autres thèmes ont été évoqués comme la communication via les offices de tourisme, la confédération des boulangers (lol), l'ouverture vers d’autres publics, la création d'une résidence proposée par le réseau, la mise en place de formations pour et à partir du réseau. Tous ces thèmes ont donné naissance a des commissions dont je ne sais plus les titres aujourd'hui.
Cette année, comme prévu, les dessinateurs et illustrateurs ont à nouveau investi la galerie pour deux WE et un mercredi consacrés aux 24 heures de la bande dessinée. Comme ils connaissent maintenant la maison et que nous sommes plus préoccupés par Précaritas et les affaires qui vont avec (comme la mise en place du Guichet Unique au FRAC Alsace, l'organisation de la résidence à Niederhaslach au mois d'août avec les artistes de Précaritas et quelques intervenants comme François Deck, Stéphanie Leininger, Bureau d'Etude.....)nous n'y avons pas trop participé.
Nous parlons aussi beaucoup de l'année prochaine, de la suite de Précaritas, et de l'association du Syndicat Potentiel. Nous parlons aussi beaucoup du budget serré que, comme des jongleurs, nous suivons au quotidien et dont le contenu est versé plusieurs mois après le démarrage de l'action. Et si l'aide très bienvenue de 15 000 euros qui vient de nous être confirmé par la région Alsace nous garantit d'aller au bout de l'action que nous menons, il n'en reste pas moins qu'il nous faut soupeser chaque dépense pour ne pas être en danger économique.
Le voyage pour Précaritas à Sélestat au FRAC Alsace, a été l'occasion de plusieurs choses :
- l'installation du Guichet Unique dans le hall du FRAC
- discussion prolixe sur l'article précédent avec Catherine qui, avec son break, a permis le transport du dispositif
- participation à la réunion de Réseau d'art contemporain en Alsace qui avait lieu le même jour
Pour l'installation du Guichet Unique, qui est en fait un espace de restitution, tout c'est bien passé : il a pris naturellement sa place dans le hall du FRAC. Lire l'article . Avec l'aide de deux sympathiques stagiaires, une fille et un garçon qui n'ont pas hésité à dépasser leurs horaires, nous avons déchargé les éléments du dispositif et les avons directement posé là où ils seront jusqu'à fin décembre.
Quant à la discussion effrénée sur l'autoroute à l'aller, avec Catherine au volant de son break, on aurait cru entendre une symphonie linéaire et courbe à la fois, répétitive et implosive, baroque et épurée. Son contenu, elle en parle sur le blog précaritas. Lire l'article Et même si elle voudrait que j'en rende compte aussi, j'assume d'en parler ainsi et de ne pas dire le contenu de nos débats. Simplement qu'ils alimenteront les projets à venir. Puisque depuis nous avons continué la discussion à plusieurs reprise au téléphone pour envisager une nouvelle formule pour l'année prochaine. En effet si nous n'allons pas reproduire Précaritas sous sa forme et dénomination actuelle, pour préserver son caractère singulier, nous savons aussi qu'avec l'association nous ne pourrons pas revenir en arrière en retrouvant un fonctionnement d'organisateur d'expositions au sens classique du terme.
A midi nous avons tous pique-niqué avec une partie des membres du Réseau d'art contemporain à côté du jardin à la française de Bertrand Lavier, mais dans le hall, car le temps n'y était pas. Nous avons discuté de choses et d'autres qui concernent le petit monde des plasticiens, de la présence ou non de telle ou telle personne. Olivier Grasser, le directeur du Frac, qui soupçonnait les radis que nous avions achetés avec Catherine, d'être transgéniques à cause de leur taille, en a quand même mangé plusieurs.
La réunion du réseau a démarré à 14 h. J'étais sceptique vis à vis du Réseau et ça se savait parce j'en ai déjà parlé dans un article et qu'une partie des personnes présentes l'avait lu. Ce que je redoute le plus dans ce genre d'endroit, c'est le consensus sous la forme quasi-répétitive que prend ce type de réunion, où face à la complexité que recèle un groupe composé de personnes toutes singulières, on se rassure en s'accrochant a des procédés qui souvent en restent au stade de procédés. Nous avons parlé de la nouvelle carte du Réseau pendant la moitié de la réunion, en se disant plusieurs fois qu'il fallait passer à autre chose. Un des point fort de la réunion à été de se dire qu'il fallait que le Réseau se dote d'une action artistique commune et concrète. D'autres thèmes ont été évoqués comme la communication via les offices de tourisme, la confédération des boulangers (lol), l'ouverture vers d’autres publics, la création d'une résidence proposée par le réseau, la mise en place de formations pour et à partir du réseau. Tous ces thèmes ont donné naissance a des commissions dont je ne sais plus les titres aujourd'hui.
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Installation du Guichet Unique au FRAC Alsace - Précaritas - (9 clicks) Edited by Jeff on May 29 2007 |