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École Régionale des Beaux-Arts de Nantes
on Aug. 13 2013
11 au 28 septembre 2013 - Salve pour un temps présent - Elise Alloin, Boris Détraz, David Droubaix, Alexis Ernaux, Elsa Farbos, Makiko Furuichi, Johnny Gaitée, Louis Granet, Bruno Grasser, Chisato Ishiyama et Anne-Sophie Yacono
12:14 pm ~ 2013 ~ École Régionale des Beaux-Arts de Nantes ~ Haute école des Arts du Rhin - Esad Strasbourg
Salve pour un temps présent
Avec Elise Alloin, Boris Détraz, David Droubaix, Alexis Ernaux, Elsa Farbos, Makiko Furuichi, Johnny Gaitée, Louis Granet, Bruno Grasser, Chisato Ishiyama et Anne-Sophie Yacono, un groupe constitué pour l’occasion et qui réunit huit jeunes artistes issus de l’École Supérieure des Beaux-Arts de Nantes Métropole, de la Haute École des Arts du Rhin et de l’École Nationale Supérieure des Arts Visuels de La Cambre de Bruxelles.
Cycle Atelier d’Anticipation Économique 2013, réalisé en partenariat avec la HEAR - ESADS Strasbourg
du 11 au 28 septembre 2013
tous les jours sauf dim et lundi
de 15h à 19h
Entrée libre
Vernissage mercredi 11 septembre à 18h
Plus d'informations
Avec Elise Alloin, Boris Détraz, David Droubaix, Alexis Ernaux, Elsa Farbos, Makiko Furuichi, Johnny Gaitée, Louis Granet, Bruno Grasser, Chisato Ishiyama et Anne-Sophie Yacono, un groupe constitué pour l’occasion et qui réunit huit jeunes artistes issus de l’École Supérieure des Beaux-Arts de Nantes Métropole, de la Haute École des Arts du Rhin et de l’École Nationale Supérieure des Arts Visuels de La Cambre de Bruxelles.
Cycle Atelier d’Anticipation Économique 2013, réalisé en partenariat avec la HEAR - ESADS Strasbourg
du 11 au 28 septembre 2013
tous les jours sauf dim et lundi
de 15h à 19h
Entrée libre
Vernissage mercredi 11 septembre à 18h
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on Sep. 7 2006
1996 - Nantes-Strasbourg A/R - S. Bianchini - S. Godefroy - M. mosler
09:45 pm ~ 1996 ~ École Régionale des Beaux-Arts de Nantes ~ Haute école des Arts du Rhin - Esad Strasbourg
03/10 au 27/10/96: Samuel Bianchini, Sabine Godefroy* et Mariella Mosler, exposition réalisée en collaboration avec l’école des Arts décoratifs de Strasbourg dans le cadre de “Nantes-Strasbourg A/R”
Samuel Bianchini : Projet de Projets *Sabine Godefroy aka Alice Keller? aka Sabdam
Strasbourg-Nantes, et vice versa
Nantes dans un aller-retour. Et en bout de trajectoire, une exposition très minimaliste à Strasbourg, signée Marion Galut et Angelika Huber. Point commun : un sens très fort de la relation à l'Autre, formulé dans des modes distincts mais avec une identique acuité. A l'issue de leurs études aux Arts Déco, Marion Galut et Angelika Huber ont passé quelques mois à Nantes (l'une en 95/96, l'autre en 93/94), dans le cadre d'une formule post-diplôme fonctionnant un peu comme une résidence d'artistes. L'école qui les a formées a décidé de leur ouvrir son espace d'exposition de la Chaufferie. Intitulées sobrement Strasbourg-Nantes A/R, leurs prestations respectives se répondent assez bien l'une l'autre. « L'art me parallélisme » proclame dans un néologisme, signé Angelika Huber, le panneau qui accueille le visiteur. C'est justement autour d'un certain parallélisme que se construit la démarche des deux artistes. Sur des plaques d'aluminium, Angelika Huber raconte en phrases courtes des situations vécues ça et là. Essentiellement des rencontres qui témoignent de l'ambiguïté des rapports humains, de leur caractère anodin ou au contraire des tensions qu'elles recèlent. Exemple : une logeuse lui demande sa nationalité « parce que, ici, on ne mélange pas les torchons et les serviettes ».
Le double et l'unique
Inscrit dans l'espace, le travail de Marion Galut opère avec une économie de moyens. L'installation Espace du regard, la plus forte des trois pièces présentées, est une construction recouverte de plâtre dont les deux principales cloisons sont reliées par deux tubes de cuivres. L'oeuvre s'appréhende à deux : une personne de part et d'autre des tubes, le regard collé à l'intérieur. Le double se réduit alors à l'unique : ce n'est plus qu'un seul oeil que chacun perçoit. Sculpture in vitro questionne la notion d'achèvement en sculpture puisque le visiteur est appelé à manipuler de l'argile dans un cube de verre. Passablement énigmatique Kopfstand (l'équivalent du poirier en allemand) est un parallélépipède en plâtre dont la face supérieure porte l'empreinte, assez profonde, d'un crâne. La pièce fonctionne au sens où elle génère une projection mentale immédiate : celle d'une tête s'encastrant dans la cavité présentée. Décidément ancrée dans le parallélisme, cette expo s'accompagne d'une collaboration de l'association Le Faubourg qui, dans son espace strasbourgeois, expose trois jeunes artistes ayant participé à la session 95/96 du post-diplôme de Nantes : Samuel Bianchini (Paris), Sabine Godefroy (Bordeaux) et Mariella Mosler (Hambourg).
SH
*Jusqu'au 9 novembre, à la Chaufferie (5 rue de la Manufacture des Tabacs) à Strasbourg, du mercredi au samedi (14h/19h) ; au Faubourg, 13 rue des Couples, jusqu'au 27 octobre, tous les jours sauf lundi et mardi, 17h/21h.
Samuel Bianchini : Projet de Projets *Sabine Godefroy aka Alice Keller? aka Sabdam
Strasbourg-Nantes, et vice versa
Nantes dans un aller-retour. Et en bout de trajectoire, une exposition très minimaliste à Strasbourg, signée Marion Galut et Angelika Huber. Point commun : un sens très fort de la relation à l'Autre, formulé dans des modes distincts mais avec une identique acuité. A l'issue de leurs études aux Arts Déco, Marion Galut et Angelika Huber ont passé quelques mois à Nantes (l'une en 95/96, l'autre en 93/94), dans le cadre d'une formule post-diplôme fonctionnant un peu comme une résidence d'artistes. L'école qui les a formées a décidé de leur ouvrir son espace d'exposition de la Chaufferie. Intitulées sobrement Strasbourg-Nantes A/R, leurs prestations respectives se répondent assez bien l'une l'autre. « L'art me parallélisme » proclame dans un néologisme, signé Angelika Huber, le panneau qui accueille le visiteur. C'est justement autour d'un certain parallélisme que se construit la démarche des deux artistes. Sur des plaques d'aluminium, Angelika Huber raconte en phrases courtes des situations vécues ça et là. Essentiellement des rencontres qui témoignent de l'ambiguïté des rapports humains, de leur caractère anodin ou au contraire des tensions qu'elles recèlent. Exemple : une logeuse lui demande sa nationalité « parce que, ici, on ne mélange pas les torchons et les serviettes ».
Le double et l'unique
Inscrit dans l'espace, le travail de Marion Galut opère avec une économie de moyens. L'installation Espace du regard, la plus forte des trois pièces présentées, est une construction recouverte de plâtre dont les deux principales cloisons sont reliées par deux tubes de cuivres. L'oeuvre s'appréhende à deux : une personne de part et d'autre des tubes, le regard collé à l'intérieur. Le double se réduit alors à l'unique : ce n'est plus qu'un seul oeil que chacun perçoit. Sculpture in vitro questionne la notion d'achèvement en sculpture puisque le visiteur est appelé à manipuler de l'argile dans un cube de verre. Passablement énigmatique Kopfstand (l'équivalent du poirier en allemand) est un parallélépipède en plâtre dont la face supérieure porte l'empreinte, assez profonde, d'un crâne. La pièce fonctionne au sens où elle génère une projection mentale immédiate : celle d'une tête s'encastrant dans la cavité présentée. Décidément ancrée dans le parallélisme, cette expo s'accompagne d'une collaboration de l'association Le Faubourg qui, dans son espace strasbourgeois, expose trois jeunes artistes ayant participé à la session 95/96 du post-diplôme de Nantes : Samuel Bianchini (Paris), Sabine Godefroy (Bordeaux) et Mariella Mosler (Hambourg).
SH
*Jusqu'au 9 novembre, à la Chaufferie (5 rue de la Manufacture des Tabacs) à Strasbourg, du mercredi au samedi (14h/19h) ; au Faubourg, 13 rue des Couples, jusqu'au 27 octobre, tous les jours sauf lundi et mardi, 17h/21h.